Une aventure d'Alexia Tarabotti, le protectorat de l'ombrelle, tome 3: sans honte
Auteur: Gail
Carriger
Edition: livre
de poche
Genre: Bit-lit,
sience-fiction
année de
publication: 2013
nombre de page: 421
Synopsis
Miss Alexia Tarabotti, devenue Lady Alexia
Woolsey, se retrouve dans une situation délicate. C’est LE scandale de la
saison. Elle doit s’enfuir en Italie, à la recherche de réponses.
Une histoire de vampires, de loups-garous et d’imprévus…
Une histoire de vampires, de loups-garous et d’imprévus…
Mon avis
J’étais heureuse de retrouver Alexia et ses amis
pour un nouveau tome et surtout j’étais impatiente d’avoir les réponses à l’intrigue
annoncée à la fin du deuxième tome.
L’humour est très présent dans ce tome avec une
Alexia comme on l’aime. Elle ne manque pas répliques cinglantes et de réflexions
savoureuses dont on ne se lasse pas.
Quant à Lord Maccon, on découvre une nouvelle
partie de sa personnalité qui ne manque pas de nous faire rire.
On découvre également un peu mieux le bêta de la
meute Wolsey qui doit prendre les rênes de la meute pendant un certain temps. J’ai
beaucoup aimé ce personnage qui est sage, gentil, paternaliste et en même temps
qui sait secouer les puces des loups garous quand il faut.
Bref, le point fort de ce tome est le cynisme et
l'humour britannique qu’il détient.
L'intrigue est très bien menée comme dans les
précédents tomes.
On va suivre Alexia et ses amis pour une nouvelle
aventure qui les mènera en Italie pour obtenir des réponses sur les paranaturels
mais aussi sur son « désagrément embryonnaire ».
De l’autre côté, on suivra le Bêta de la meute
Wolsey qui cherchera des réponses sur la disparition de Lord Akeldama qui est
en lien étroit avec la situation d’Alexia.
Gail Carriger a une plume pleine d'humour et nous
emporte facilement dans des aventures pleines de suspens avec des personnages bien
construits, attachants et toute une fresque politique. C’est du pur bonheur que
j’ai hâte de retrouver dans le tome 4.
Chronique sur le tome 2 : sans forme
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